Une soirée organisée en partenariat avec African Artists for Development
"Tout ce qui a une forme est appelé a disparaître" dit un proverbe bouddhiste. Plus que jamais, nous consommons des formes : création de valeurs immatérielles, tissage permanent de lien social. L'esthétique devient la matrice des intermédiations économiques et des métissages interculturels. A l'ère d'une nouvelle modernité où les hommes se voient débordés par leurs créatures, artefacts, outils, objets techniques, technologies, l'Art et les artistes font face à de nouvelles questions. Pouvons-nous échapper à la succession des courants et réinstaurer la permanence du Beau ? Les formes et les courants artistiques modernes sont-ils défricheurs ou suiveurs? Comment faire en sorte que l'énergie de l'amour et de la création devienne une énergie renouvelable partagée ? Le sens de l'amour est-il l'essence de l'art ?
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à 19h30